Les Arméniens et les Azerbaïdjanais sont les deux plus grandes diasporas nationales à Moscou. Aujourd'hui, alors que la guerre a effectivement repris au Haut-Karabakh, elles sont devenues les otages de la situation. Les émotions sont vives. Les réseaux sociaux russes regorgent de discours de haine. Les autorités de Moscou ont pris conscience de l'ampleur de la menace qui pèsera sur la ville si elle devient un autre théâtre de guerre entre les deux peuples autrefois fraternels. Et ils ont commencé à prévenir d'éventuelles violences. L’activiste russe et membre du Front de gauche Alexey Sakhnin a rencontré des membres des deux communautés qui résistent à la tentation de la haine réciproque.
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