Même parmi ses pairs La Monte Young et Tony Conrad, Charlemagne Palestine passe pour un excentrique. Refusant la solennité de la "musique sérieuse", il se produit en couleurs psychédéliques, entouré de ses peluches, pardon divinités. Ses ululations vocales rappellent autant son maître Pandit Pran Nath qu’un enfant boudeur. Adorant les contradictions, sa musique est imprégnée d'une espièglerie que dément sa rigueur et son intensité.
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