Après avoir regardé le “Sàtàntango” de Béla Tarr, on se dit qu’il est plus nietzschéen que proustien. Chez lui, et plus précisément ici : "Le monde subsiste; il n'est pas quelque chose qui devient, quelque chose qui passe. Ou plutôt : il devient, il passe, mais il n'a jamais commencé à devenir et ne cessera pas de passer - il se maintient dans ces deux processus... il vit de lui-même : ses excréments sont sa nourriture..." Alors, pourquoi 7,30h pour un film ?
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