Dans la lignée des personnages de Thomas Bernhard, le narrateur solitaire et obsessionnel de cette novella s’est noyé dans la mélancolie et l’angoisse face au vide de l’époque, face au spectacle d’une humanité qui lui apparaît comme saturée de vanité et de mépris. En une seule phrase de soixante-dix pages, le souffle admirable de la littérature.
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