Je ne suis pas sûr que même le nouvel album de Low, disque censé nous relier à l’estime inaltérable que nous, sachants, éduqués, branchés ou plus rarement fans du groupe depuis le tout début, sommes censés porter à l’humanité puisse arranger quoi que ce soit. Un moment d’impatience, une révélation de la beauté, soit. Porter aux nues, pourtant, portant fièrement un humanisme contrarié à chaque instant. Voilà de quoi il s’agit. Le problème du disque (pas de l’humanité, quoique), c’est que le précédent a vu juste et celui-là ne sait pas trop où il va.
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