On peut appréhender Gilles Aillaud d’au moins deux manières. D’abord l’éco-artiste avant l’heure, celui qui, sa vie durant, ayant peint les animaux enfermés dans des zoos, nous invite à repenser notre rapport au vivant — et plus largement aux choses terrestres. Ensuite, comme un artiste de son temps pop qui décline les canons du genre avec une fixette sur les produits de consommation et la communication de masse. Faites votre choix !
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