Après avoir marché sur les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle, et avoir accompagné des jeunes pour des « séjours de rupture » avec l’association SEUIL, Jérémie Gallegos a publié un album qui raconte ses expériences sous forme de fiction. Nous vous proposons une rencontre en vidéo avec l’auteur accompagné d’extraits de l’album et de ses carnets.
Read More“ C’est la terre qui nous porte, c’est la terre qui nous nourrit, elle est tout pour nous. Et à la fin, on retourne à la terre. Si je suis arrivé à la céramique, c’est pour rendre hommage à cette Terre qui nous porte. ” Benjamin Déguénon
Read MoreUne enquête sur les coulisses du festival de la BD d’Angoulême révèle une agression sexuelle et parle de management toxique dans l’équipe organisatrice.
Read MoreRien de tel pour exprimer le véritable amour que de se disputer pour savoir qui a oublié le bouchon du dentifrice, n'est-il pas ? D'un point de vue humoristique, Stephanie Shih explore les multiples significations de la "félicité domestique" dans un paysage social marqué par le consumérisme et des politiques contradictoires. Attention, distorsions en vue …
Read MoreCinquième volet de ce dossier à l’occasion du montage d’un grand stand Taiwan Comics à Angoulême en janvier 2025 qui coïncide à une vague de traduction de titres taïwanais chez les éditeurs français fin 2024 et début 2025. L’occasion de discuter avec Chang Sheng, Moonsia, Pao-Yen DING, Pam Pam Liu & Ruan Guang-Min.
Read MoreLes yeux grands ouverts sur le ciel bleu
Tu t'exclames : l'orage s'apprête !
Sur un voyou haussant le sourcil
Tu t'exclames : l'amour va paraître !
A travers les lichens d'indifférence
Je m'exclame : un poème va naître !
Marina Tsvetaieva, Poème 1936
Ludovica De Santis, Photo Lucid Dream 1 - Another Finger. “Human feet have six toes sometimes.”
Après avoir discrètement fait parler de lui avec la collection Yearbook 1 (aidée par un généreux partage en MP3 de celle-ci), Studio a réédité la majeure partie de celle-ci (en soustrayant "No Comply" et "Radio Edit") pour créer West Coast, qui a fait exploser le buzz qui couvait à propos du groupe. Il n'est pas étonnant que le duo Dan Lissvik et Rasmus Hägg, tout en étant parfaitement en phase avec les nombreux groupes européens qui jouent avec une énergie contenue et croustillante dans leur techno (il n'est pas surprenant que Prins Thomas ait été l'un des premiers à les encourager), apporte non seulement une touche d'électronique des années 80, mais aussi le rock & roll de cette décennie, orienté vers l'art.
Read MoreDans ce bas monde, camarades de mer, le péché qui paie sa place peut voyager librement et sans passeport, tandis que la vertu pauvre se voit arrêtée, elle, à toutes les frontières.
Herman Melville - Moby Dick
Read MoreVous avez aimé le télétravail, seul gain social issu du COVID ? Vous allez adorer retourner à l’office à coups de pied dans le derrière. En effet, la crise de l’immobilier de bureau est telle que pour le gouvernement français il importe désormais, quoiqu’il en coûte d’un nouvel art de vivre, de sauver le secteur à toute vitesse et, plus urgent encore, de sauver La Défense, fleuron parisiano-français d’un centre d’affaires qui craint pour son avenir à plus ou moins court terme.
Read MoreAprès une nouvelle année de statistiques climatiques record, nous nous trouvons à l'aube de l'année 2025, qui a déjà révélé ses propres défis dévastateurs. Alors que la fenêtre pour un changement significatif continue de se rétrécir au cours des prochaines années, nous sommes amenés à nous demander à quoi le monde pourrait ressembler si nous continuons sur cette voie. À travers le prisme de l'hyperconsommation, l'artiste Michael Kerbow, basé à San Francisco, envisage l'avenir dans ses peintures de paysages ironiques et imaginatives.
Read MoreAprès avoir sorti une édition augmentée (deux titres) de son Selected Ambient Works II, Richard D.James et WARP se sont offert une session d’écoute au Tate Modern. C’est chic et ça annonce la sortie de cette compilation à posséder pour tout amateur de musique électronique, les titres les moins puissants volant toujours au dessus la mêlée électro…
Read MoreMétamorphose - Transformer l'architecture en art et en imagination. Derrière chaque cliché se cache un voyage à travers des lignes, des formes et des espaces en constante évolution. Je photographie principalement l'architecture moderne et ses détails, en me concentrant sur l'art en noir et blanc. Mon travail exclut délibérément toute présence humaine, Derrière chaque cliché se cache un voyage à travers des lignes, des formes et des espaces en constante évolution. Je photographie principalement l'architecture moderne et ses détails, en me concentrant sur l'art en noir et blanc. Mon travail exclut délibérément toute présence humaine, laissant les lignes et les formes de l'architecture prendre le devant de la scène.
Read MoreLe superbe autoportrait d’une vie militante dans les intervalles, les tiraillements, les déchirures – en poésie pleine d’allant et d’humour éventuellement noir.
Read MoreL’argument ne tenant que du bout des doigts, est-il à avouer ou à taire ? Avouons-le : un très improbable trio de grimpeurs partisan de l’escalade moderne (Claire, Manuel et Méduz) se fondent sur ou bien dévissent dans des voies françaises de plus en plus compliquées, pour finir par se colleter aux falaises mythiques des Gunks, dans les Appalaches aux USA. Roman écrit à la force des doigts et des poignets, roman d’apprentissage, de cordes et de cris, de compagnonnage et d’amour moderne, de révélations et surtout – d’élévation (don’t go to my head !)
Read MoreDès les années 1960, Olga de Amaral repousse les limites du médium textile en multipliant les expériences sur les matières (lin, coton, crin de cheval, gesso, feuilles d’or ou palladium) et les techniques : elle tisse, noue, tresse, entrelace les fils pour créer des pièces tridimensionnelles et monumentales. Inclassable, son œuvre emprunte tant aux principes modernistes, qu’elle découvre à l’académie de Cranbrook aux États-Unis, qu’aux traditions vernaculaires de son pays et à l’art précolombien.
Read MoreDès les années 1960, Olga de Amaral repousse les limites du médium textile en multipliant les expériences sur les matières (lin, coton, crin de cheval, gesso, feuilles d’or ou palladium) et les techniques : elle tisse, noue, tresse, entrelace les fils pour créer des pièces tridimensionnelles et monumentales. Inclassable, son œuvre emprunte tant aux principes modernistes, qu’elle découvre à l’académie de Cranbrook aux États-Unis, qu’aux traditions vernaculaires de son pays et à l’art précolombien. Après avoir présenté six œuvres de la série Brumas dans le cadre de l'exposition Géométries Sud en 2018, la Fondation Cartier retrace l’ensemble de la carrière d’Olga de Amaral et célèbre celle qui marqua une véritable révolution dans l’art du textile.
Read MoreVraie-fausse confession « business » mordante et hilarante d’un duo poétique inlassablement déjanté : ici comme ailleurs, le Manque a gagné.
Read MoreJe suis sûr qu'une fois que nous aurons réussi à distinguer ce qui est imaginaire de ce qui est réel dans notre vie, nous apprendrons des choses singulières et nous considérerons le monde entier d'un autre œil. Qui sait quelles conséquences en découleront ?
Bruno Traven - Le Vaisseau des morts
Read More