Il y a ces deux passages d’Antoni Casas Ros. Extralucides, ils peuvent aider à traverser novembre sans fêtes : « Toute la violence de notre temps, toute la crapulerie politique vient du fait que personne ne regarde personne. Les distances se creusent, les fissures deviennent des précipices dans lesquels les guerres et les destructions s'engouffrent. » C'est dans “Le Théorème d'Almodovar”, page 79 de l'édition folio.
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