Faute de perspectives, susceptibles de donner quelque consistance au « monde d’après » qui ressemble toujours plus à la version sinistrement empirée du « monde d’avant », le chef de l’Etat multiplie les commémorations. Sans doute pense-t-il, grâce aux pompeuses mises en scène des “grandeurs” passées de la France, faire oublier les bassesses politiques de son quinquennat. En 2016, il prétendait incarner la Révolution, il est aujourd’hui le très dangereux fourrier de la Réaction.
Read More