Tarik se maquille et s’habille en femme. Il danse sur une carriole tractée par un cheval mourant et un père qui ne le regarde plus. Il suit le rythme effréné d’une fanfare composée de pauvres hères, des parias, des punks à chiens sans chiens, et des désaxés qui se laissent traverser par l’inertie. Suivi, par la foule, Tarik vibre de sensualité féminine en s’abandonnant à cette passion, son visage barré par une moustache qui revendique sa virilité tronquée.
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