Divins humains ou humaines divinités surgis aux 9 coins de la scène, nés pour marcher sur la tête des tables – simplement s'y asseoir serait courir le risque de s'y noyer –plongés dans l'enfer d'un monde en ruines ou élevés aux délices du Palais Sensuel, Cupidon, Venus et Psyché ont beau s’en donner à cœur joie –qu’il soit gros, lourd ou serré, de pierre de marbre ou d’or, au ventre, sur la main, à l’ouvrage, au bord des lèvres et bien accroché – la pièce de Lazare, "Cœur instamment dénudé", métamorphose des Métamorphoses, enchanteresse de l’enchantement lui-même, résonne comme un S.O.S. Car à la fin, # spoileralert : dans l’âpre et délectable lutte du corps et de l’esprit, seule l'âme sauve, l’âme seule se sauve.
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