On adore toujours autant les labels défricheurs comme Akuphone qui accueillent les groupes trop barrés pour signer ailleurs ( Ramuntcho Matta, Dwarfs of East Agouza ou des musiques ethniques dont personne ne parle jamais…) Et là, la sortie du troisième album de Ko Shin Moon arrive à point avec ses frissons d’ailleurs. La “gentille” dictature néo-libérale au pouvoir voudrait bien pouvoir cadastrer nos échappées lyriques et nos danses sauvages. Là encore, c’est raté. Recommandé.
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