Nous sommes face à un paradoxe : les nationalistes ont mis en place une Internationale des partis d’extrême-droite, et elle fonctionne. De leur côté, à part quelques groupes antifas, ceux qui se prétendent internationalistes n’ont rien mis en place pour lui faire face. Les partis de gauche restent cantonnés dans leur pays. Ne se prêtent pas main forte. N’ont même pas conscience de la force grandissante, de la brutalité de l’Internationale nazie et de la réalité des liens que tous ses groupes locaux ont tissé entre eux. C’est une erreur que nous risquons de payer très cher.
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