La lecture de “Quand la ville se tait” prend tout son sens alors qu’un deuxième confinement est toujours en cours, plus lâche mais tout aussi étouffant. Nous avons connu aussi le bien nommé « couvre-feu ». Le bas des visages des manifestants (et des piétons responsables) est actuellement protégé (bâillonné). Pendant le premier confinement, les masques étaient rares. On distinguait mieux les expressions. Maintenant les masques sont labélisés, signés, décorés. On s’installe dans le bio-politique, « bio-policier » est dit dans ce livre qui vient nous y soustraire.
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