A Madrid et Barcelone, mais aussi Cadiz, et dans une moindre mesure Valence, des mouvements citoyens alliés à Podemos et d'autres organisations politiques qu'on aurait avant facilement qualifiées de marginales, font l'expérience, assez inouïe quand on y pense, de diriger de très grandes villes européennes, et s'en sortent généralement plutôt bien. Du moins du point de vue des "gens raisonnables" (budgets mieux gérés qu'avant etc). Mais quel bilan tirent les militants les plus engagés dans les associations de voisins, les combats sociaux, de leur engagement dans les institutions ? Qu'est-ce qui marche ? Qu'est-ce qui ne marche pas ? Pablo Carmona est un de ceux-là.
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