Quelle autre organisation pourrait se permettre, par les temps qui courent, de déployer place de la Concorde, à quelques mètres de son local, une banderole promettant de “décapiter la République”, de prendre d’assaut une session du conseil régional d’Occitanie, de réclamer l’instauration d’un “catholicisme d’état” en menaçant d’un “retour des croisades” sur les murs d’une mosquée, de coller devant la faculté de lettres de Limoges des affiches dénonçant ses professeurs supposément “islamo-gauchistes”, d’attaquer des manifestants LGBT, des librairies, des lycéens ?
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