Personne n’attendait la résistance admirable des Birmans au coup d’état militaire. Les généraux qui ont dirigé le pays pendant des décennies y ont répondu comme d’habitude par la force. Et sans état d’âme : à l’heure actuelle, plus de 500 manifestants désarmés ont été abattus. Sans que le peuple se résigne. On pense à la Syrie, où Hafez Al Assad a fait tirer pareillement sur son peuple qui réclamait la démocratie dans des manifestations immenses et pacifiques. Jusqu’à ce que que ce peuple prenne des armes pour se défendre.

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