Vous connaissez cette phrase de Camus, quand il disait que mal nommer les choses ajoutait au malheur des hommes. Ils sont pourtant de plus en plus nombreux dans nos villes, ceux qui ont fui les persécutions et nomment précisément la fabrication du malheur en Turquie. Pourquoi n'entend-on pas leurs voix ? Ou pire, pourquoi les livrons-nous à Erdogan, comme le militant kurde Mehmet Yalçin ?
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