Dia 4 les Martine's dérivent vers Belem… so os pasteis !

Des bus en ligne
Des lignes de bus
Avant la cohue
Les clics et la file de la moitié du monde

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Des Pasteis de Nata à la hauteur de Belem
Au milieu du Tage
Une seule heure suffit
Et l’impossibilité d’être en présence du temps.

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Dans les interstices de la beauté, les roches noires,
Et des drôles de machines ridicules qui enlaidissent l’horizon,
Ils sortiront tout à l’heure du fleuve pour enlaidir les rues.

S’éloigner du bruit.
Le faire taire, en quittant la grande route.

Tomber sur le jardin botanique de Belem…
2€ l’entrée pour prendre un raccourci qui n’existe pas.

Sentir le temps des arbres, écouter les paons sur les toits

Et revenir sur ses pas…
Contempler et s’accrocher aux racines qui pendent au ficus géant…

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Faire signe à un taxi qui s’arrête,
On est pas à Paris ici !
Noir et vert pâle sur les pavés, il nous emmène au Musée de Art Ancien.

La peinture portugaise, esthétique mystérieuse
Le Ecce Omo qui porte le voile nous subjugue.

Art ornemental, « décoratif », les sculptures nous toisent.

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Le musée abrite le triptyque de Jérôme Bosch La Tentation de Saint Antoine.

Il dialogue à distance avec « L’enfer » tableau d’un maître inconnu du Portugal

Et donne à la visite une ambiance un peu surréaliste.

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On oublie très vite le jardin
pour rejoindre le quartier Bica
et trouver une petite tasca pour y déguster « os rissois » 

Et quelques « bolos bacalhau »
Avec un grand verre de Sagres.

Une charmante dame, qui fait tout maison
Même l’accueil et le service.
La simplicité, et la table dans l’ouverture…
Elle fait des pasteis…
Rien à voir avec ceux dégustés plus tôt
Mais il réside dans la différence toute la gourmandise
Et tous les plaisirs d’une authentique recette.

Les pasteis sont comme les délicieux moments de la vie
Tous différents !

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La nuit tombe…
et le ballet des trams donnent leurs spectacles.

Au Bistro 100maneiras (100 manières…)
Nous découvrons le contraste des nouvelles vies urbaines gastronomiques.

Ils en font trop, de manières
Bien plus que 100

Si les plats sont à tomber
L’ambiance est à hurler… de rire

Décor nouveaux-riches
Attention école-hôtelière.

Tout cela manque de chaleur !
Le vin est déjà oublié
Malgré l’effort surhumain du serveur

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Nous dormons
Fenêtre grande ouverte
Les sirènes de police et … 

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Les quelques déambulations finissent d’achever notre nuit.

De Belem au Baixa
So os pasteis…

La gourmandise…
Toujours !

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PS: aucune photo de plat n’a été prise durant le repas.
Imaginez !

Martine's le 24/04/18
Dia 4 les Martine's dérivent vers Belem… so os pasteis !