En corps brûlant dans les casernes (2)

Suite et fin du texte figurant dans le carnet vert à petits carreaux ayant appartenu à un engagé, tel quel, avec ses particularités orthographiques…

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… et soudain alors je sentis quelque chose de raide, s'appuyer sur ma fente, elle me mit dans un état de surexcitation exterieur, mes cuisses, mes fesses, mes nerds, mes seins se dressaient fermes et pointus, je faisais tout remuer. Tout à coup, je me sentis transpercé, je ressentie une vive douleur suivit aussitôt d'une jouissance pour moi jusque là inconnue. La chose raide est longue était entièrement dans ma fente et avait un mouvement de va et vient sous ses chatouillements j'éprouvais une jouissance impossible à décrire mon sang bouillait dans mes veines le plaisait faisait raidir mes jambes et tous mes membres. Je sentis bientôt que je ne pouvais plus suporter cette jouissance extreme qui augmentait sans cesse et je n'osais pas lui dire de cesser. Lorsque je le vis souffler j'ai cru que c'était fini mais je me trompais reprenant haleine il me prit une fesse dans chaque main et continua à me chatouiller en me prenant plus fortement je croisais les jambes et le tenais enlassé et serré comme dans un étau d'un coup, d'un coup mon mari me renversa en me prenant bruquement plus fort à presque m'étouffer. il poussait de petits soupirs pendant que son membre raide et gros augmentait dans ma fente. Un frisson me parcouru dans tout le corps et je me sentie en même temps inondé par le liquide brulant et abondant on aurait dit que ce liquide me passait dans tout le corps et dans la moelle des os. Je crus un moment que mon âme allait se détraquer mes os craquaient, et je ne peux plus remuer. Je fis un bond pour me dégager mais lui me tenait et me serait contre lui je voulu lui demander grace mais je pleurais de plaisir je n'en pouvais plus je me sentais suffoquée et je m'évanouie. L'orsque je rouvris les yeux mon mari accoudé sur le traversin me demanda si je ne souffrais plus et si j'étais heureuse. Je lui repondis par un long baiser. Il recommença ses caresses et tout mon corps en fremit C'était le jour le plus beau de ma vie à une heure du matin pendant que mon mari couché sur le dos je plongeais dans un inlassable bonheur. Je voulais savoir comment était fait son membre long et gros et après l'avoir examiné je me suis mise à la sucer ce que l'on appéle m'a t'il dit un pompier. Ensuite je m'endormis dans ses bras avec tout mon bonheur. Si un jour tu veux connaître fait le moi savoir. J'insisterai auprès de mon mari pour qu'il te rende ce petit service

Bien Amicalement

Cannibale Claro le 20/04/18